Sandrine raconte que pendant ses années d'études en communication visuelle, ses profs n'ont cessé de lui dire que son travail manquait d'humour et que c'était trop minimaliste. Alors, dit-elle, avec son caractère de cochon, elle a assumé son « humour » et développé encore plus son côté minimaliste ! C'est devenu son empreinte dans les gravures qu'elle réalise. Elle conçoit de toutes petites images; des saynètes inspirées des personnes qui l'entourent, pour laisser vagabonder l'imagination des petits et grands enfants.