Chers estivants, 

Nous voilà parvenus au temps de la grande migration de l'été… Ce temps qui nous mène dans des endroits choisis par nous seuls avec pour seul objectif de lever le pied, ne plus bouger, regarder les papillons voler et jouir du temps qui passe au rythme du soleil qui se lève, qui se couche, qui se lève...

Nous avons tout donné tout au long de l'année, nous avons planté, bêché, organisé, arrosé. Nous avons accompli toutes les missions que nous nous étions fixées, finalisé tant de projets, lancé des lignes ici et là pour après, pour demain et pour après demain.

Il nous faut maintenant entrer dans la contemplation et laisser faire, laisser grandir, murir. Il faut parvenir à décrocher le mental et laisser notre cœur libre de s'épanouir, de voleter en toute légèreté, telle une plume portée par le vent.

Cette plume va courir sur les pages encore vierges du projet de notre cœur. Elle viendra raconter ce dont notre imagination veut faire une réalité. Demain, nous vous en parlerons.

Pour l'instant, n'écoutant plus que le battement des ailes des oiseaux et doucement caressés par une brise légère, nous vous souhaitons à tous une belle saison de créativité...

Chaleureusement votre,

Potiron,
Framboise,
et Cerise.


Pas un jour sans soleil, collection d'aquarelles pleines d'humour et de tendresse de François Ravard vient rejoindre Les Grandes Vacances de Violaine Desportes pour raconter les vacances au bord de la mer, toutes deux teintées de l'influence de Sempé,

Les Ondes océanes de Ray Collins sont plus que jamais d'actualité, porteuses d'embruns et d'éclats de lumière, elles nous transportent avec joie dans les rouleaux du Pacifique,

Les Magic Box accueillent une special guest ce mois-ci avec 3 créations de Dominique Arella,

Other Time Lyon, série photographique de Denis Chobelet, vient compléter la collection de Polas Lyon et nous montre comme c'est beau une ville l'été.


« Une seconde avant de se poser sur la branche du tilleul, le moineau a étiré ses ailes au maximum, comme on ouvre grands les bras tout à la joie de revoir ceux qu’on aime » Christian Bobin